
Les Spa Summer Classic, ce n’est pas qu’un calendrier de courses. C’est une ambiance. Une respiration mécanique hors du temps.
Cette année, je n’ai pas cherché à couvrir tout le programme. Une seule journée, un regard différent, entre paddocks assombris et piste en pleine lumière.

Dans les coulisses.
Dans les stands, les détails parlent d’eux-mêmes : une roue posée, un volant en attente, des mains noircies qui ajustent la mécanique. Chaque geste a le poids d’une époque.




Sur la piste.
Sur la piste, contraste total. Les filés s’étirent, les GT et monoplaces anciennes s’affrontent à pleine vitesse. Noir et blanc pour l’intensité, couleurs saturées pour l’énergie. Le passé vibre encore dans chaque virage.







Retour au paddock.
Et puis le calme revient. La lumière tombe, les autos se reposent, cabossées ou intactes. Comme si le circuit lui-même reprenait son souffle.





Au fond, je n’ai pas photographié des voitures. J’ai capté des instants. Des fragments de mémoire, suspendus entre l’ombre et la vitesse.
L’élégance d’un instant vaut parfois plus que la puissance d’un moteur.